A quoi sert le lissage ? Ainsi, le loueur en meublé imposable à la CFE n’aura pas à payer la taxe d ’habitation. La CFE est un impôt local. Elle est due dans chaque commune où l’exploitant de location meublée dispose de locaux.
Ce qui, dans les faits, concerne une minorité de loueurs en meublé. Toutefois, si le locataire paye la taxe d ’habitation en location meublée, cela n’empêche pas le propriétaire de s’acquitter de la Contribution Foncière des Entreprises ( CFE ).
Elle peut remplacer le paiement de la taxe d’habitation dans le cas où vous, le propriétaire, en seriez redevable (voir paragraphe ci-dessus sur la taxe d’habitation). Le fisc ne fait pas de cadeau si facilement, le contribuable est toujours éligible à un nouvel impôt : la CFE (contribution foncière des entreprises). Déclenchée par le formulaire Poi que doit remplir tout loueur en meublé non professionnel, la CFE est à payer au mois de décembre.
Tous les deux se différencient sur leurs principes, mais elles sont toutes imposables à une location meublée. Parmi les impôts locaux auxquels les loueurs de meublé de tourisme sont confrontés, la CFE et la taxe d’habitation sont les plus notables.
Par ailleurs, cette activité se conforme aux principales réglementations de la mise en location. Pour rappel, la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) est un impôt local, dû dans la commune où se situe le bien destiné à la location meublée.
Les explications de Maud Velter, directrice associée de Lodgis. Ce qui peut parfois poser problème quand le logement est donné en location saisonnière : qui du bailleur ou du locataire doit payer la taxe ?
Le propriétaire d ’une location meublée est redevable de la CFE, cotisation foncière des entreprises. Or, la CFE et la taxe d ’habitation étant exclusives l’une de l’autre En effet, un propriétaire d ’une location meublée n’occupe pas à titre personnel les locaux donnés en location. Vous êtes nombreux à nous questionner sur la CFE et la taxe foncière en meublé de tourisme.
Voici ce que dis le bulletin officiel des finances publiques. Cumul CFE et Taxe d ’habitation. Cas précis d ’un couple qui a sa résidence principale dans une station thermale, et qui possède aussi plusieurs studios meublés. Le couple donne en location ces studios à des curistes entre mars et décembre.
La fiscalité de la location saisonnière comporte quelques caractéristiques particulières. En effet, la location saisonnière étant une forme spécifique de location meublée, les loyers et charges perçus dans le cadre d ’une location saisonnière relèvent des bénéfices industriels et commerciaux (BIC).
Or, la CFE et la taxe d’habitation étant exclusives l’une de l’autre En effet, un propriétaire d’une location meublée n’occupe pas à titre personnel les locaux donnés en location. Le paiement de la taxe d’habitation location meublée incombe logiquement au locataire, mais à plusieurs conditions : Il doit habiter le logement au 1er janvier de l’année d’imposition.
Il doit y habiter de manière permanente et exclusive, sans que le propriétaire ne s’attribue la jouissance du bien pendant une partie de l’année. Dans tous cas (LMP ou LMNP), l’activité de location meublée nécessite une inscription auprès d’un centre de formalités des entreprises (CFE).
Il s’agit en l’occurrence du greffe du Tribunal de commerce dont dépend le bien que vous mettez en location. Votre n° de SIRET est nécessaire pour la déclaration de vos recettes locatives. Vous pourrez bénéficier d’une exonération du paiement de la Cotisation Foncière des Entreprises si vos recettes seront inférieures à 5. Les entreprises soumises à la Cotisation Foncière des Entreprises ( CFE ) peuvent chercher à connaître le montant de leur impôt via un simulateur.
S’il s’agit d’un meublé est uniquement affecté à la location, qui ne fait pas partie de l’habitation du loueur, le propriétaire ne doit pas payer la taxe d’habitation.
Si les pièces louées font « partie intégrante de l’habitation du loueur » et sont « louées en meublé de manière saisonnière », la taxe d’habitation est due par le propriétaire. Elle est inférieure pour les meublés touristiques classés : entre et euro par nuit et par occupant. Les loueurs en meublés qui donnent leur bien en location par un bail d’un an.
Dans cette situation le locataire est considéré comme ayant la jouissance du bien et est redevable, à ce titre, de la taxe d’habitation. En conséquence, la valeur locative du bien loué ne doit pas être retenue pour le calcul de la CFE et le loueur n’est redevable que d’une cotisation minimale au titre de son bien meublé principal.
Ainsi, toute personne qui a une activité de location meublée, au régime micro ou réel, est redevable de la CFE. Le taux de la CFE est fixé par chaque commune et dépen comme pour les impôts locaux, de la valeur locative cadastrale du logement.
Elle reflète le montant du loyer qui pourrait être réclamé si le bien était mis en location. Sont passibles de la CFE, les activités exercées à titre habituel et revêtant un caractère professionnel non salarié. Les loyers sont imposés dans la catégorie des BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux), même si la location est occasionnelle. La location de locaux meublés constitue une activité.
En outre, elle a régulièrement été développée dans le cadre d ’opérations de défiscalisation. Il en résulte un régime fiscal très spécifique et très encadré.
La loi fiscale vous permet d’avoir un abattement forfaitaire de % lorsque vous faites classer votre meublé en étoiles (par un cabinet agréer par le ministère du tourisme, les autres labels ne vous permette plus cet avantage).
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