jeudi 16 février 2017

Clause de solidarité

Votre générosité est la source de notre action humanitaire. Qu’est-ce qu’une clause de solidarité ? Il est d’usage qu’un contrat de colocation contienne une clause de solidarité.


En vertu de cette clause, les colocataires sont liés ensemble et notamment sont tenus solidairement à l’exécution des obligations engendrés par l’exécution du contrat de bail. Cela concerne notamment l’obligation de payer le montant du loyer et des charges stipulées dans les dispositions du bail.


Cette clause de solidarité va permettre au bailleur de se retourner vers n’importe lequel des colocataires pour le paiement de la totalité des loyers et des charges dus par tous les colocataires présents dans l’appartement.

Cette solidarité perdure même après le départ d’un des colocataires, et ce jusqu’à l’entrée d’un nouveau colocataire ou dans la limite de mois après le congé délivré par le locataire ayant quitté le logement. Clause de solidarité Cette clause limite les risques d’impayés en prévoyant une solidarité entre colocataires si l’un d’eux est défaillant. Son inscription dans le bail est de fait essentielle dans le sens où cette solidarité n’est pas implicite.


Lors de la rédaction d’un contrat de location, en présence de plusieurs locataires, le bailleur peut prévoir une clause dite “de solidarité”. Cette clause permet de sécuriser le bailleur en impliquant chaque locataire dans le paiement complet du loyer.


Pour que cette clause soit valable, elle doit respecter un certain formalisme. A quoi sert la clause de solidarité ? La clause de solidarité rend chaque locataire titulaire du bail responsable du paiement du loyer et des charges.


Le bail avec clause de solidarité impose au colocataire souhaitant quitter le logement de trouver un accord avec le bailleur et les autres colocataires.

En effet, il reste, malgré son départ, redevable des obligations au titre du bail : il pourra être poursuivi par le bailleur en cas de litige postérieur à son départ de la colocation (loyer impayé par exemple). Elle est souvent activée en cas de cession de bail.


Cette clause a pour effet d’engager solidairement, et selon des conditions précises, le cédant avec le cessionnaire au paiement des loyers. Son principe : elle stipule que les colocataires doivent être solidaires entre eux en cas de défaut de paiement de l’un des occupants.


Concrètement, cela signifie que si un colocataire ne paie pas le loyer et les charges locatives, le propriétaire peut se retourner contre n’importer. Lorsqu’un colocataire quitte le logement loué, la clause de solidarité continue de s’appliquer.


Ainsi, le propriétaire peut se retourner contre lui pour obtenir le paiement total du loyer si l’un des colocataires restants est défaillant, et ce, même s’il n’habite plus. Attention : bien que courante, la clause de solidarité doit être considérée avec une grande attention car elle peut avoir de lourdes conséquences.


Un colocataire qui cesse de payer son loyer peut créer des difficultés financières pour ses compagnons qui ne peuvent pas forcément assumer la part de loyer manquante. Les conséquences en cas de clause de solidarité. Le propriétaire peut donc réclamer.


Par exemple, si un contrat de bail qui contient une clause de solidarité est conclu entre un propriétaire et trois colocataires, chacun des colocataires peut être tenu de. Il existe types de clauses de solidarité : celle selon laquelle le cédant reste solidaire du cessionnaire et celle où le cessionnaire est solidaire du cédant ( clause inverse) En vertu de cette clause, le locataire cédant demeure, en cas de cession, solidairement responsable avec le cessionnaire de l’exécution des clauses du bail et du paiement de loyer.


Les clauses de solidarité inversée : un vrai frein à la reprise d’entreprises. Le avril dernier, le Parlement a adopté définitivement la loi instituant le Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (dite «loi Pacte»). Pour mémoire, cette loi ambitionne de repenser le modèle économique français. Le colocataire solidaire, qui a payé la totalité du loyer, dispose alors d’un recours contre les autres colocataires.


ATTENTION Nous conseillons au bailleur d. Tout d’abor la clause de solidarité ne peut désormais être soulevée par le bailleur que dans un délai de ans maximum à compter de la cession du bail.

L’importance de la clause de solidarité en cas de séparation des locataires. L’ajout d’une clause de solidarité indique noir sur blanc que les colocataires, quel que soit leur régime matrimonial, sont tenus solidairement à respecter les obligations du contrat de bail à l’égard du bailleur.


Lorsqu’une clause de solidarité est insérée dans le contrat de bail, chaque colocataire est responsable de l’ensemble des obligations du bail envers le bailleur. En pratique, cela signifie que le propriétaire peut réclamer le paiement de l’intégralité du loyer à un seul des colocataires solidaires. Pour un congé de location oui, mais pas pour la clause de solidarité. Le contrat de location en colocation prévoit une clause de solidarité.


Mais la jurisprudence a fait preuve d’hésitation quant à savoir si ce type de clause était valable ou. Avec une clause de solidarité, le coloc partant reste solidaire du loyer jusqu’à mois après son départ si aucun autre coloc ne prend sa place entre temps.


Cela ne veut pas dire qu’il doit forcément continuer de payer sa part de loyer, mais ce sera le cas si les coloc restants ne veulent pas la prendre en charge, ou causent des impayés de loyers. Obligés solidairement et indivisiblement » : ces quelques mots insérés dans le contrat de bail suffisent à établir une solidarité entre colocataires pour leurs obligations au titre du bail.


Toutefois, une clause de solidarité peut toujours être stipulée dans le bail, dans le but de permettre au bailleur de réclamer à l’un des colocataires, celui de son choix, le paiement de la totalité du loyer. Pour les colocataires, la solidarité demeurera après la délivrance d’un congé de l’un d’entre eux pendant une durée minimum de trois années à compter de la date de la réception de la lettre de congé ». Pour réputer la clause non écrite à raison de son caractère discriminatoire et déséquilibré, la cour d’appel relève qu.


En conséquence de quoi, et compte tenu de la clause de non- solidarité opposable, la société MAF sera condamnée à indemniser les préjudices consécutifs de la SCI P. ALORS QUE les juges du fond ne peuvent délaisser des éléments de preuve opérants, sans.

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