Si la révision du loyer est prévue par le bail, le propriétaire peut augmenter son loyer une fois par an : Soit à la date de révision prévue dans le bail, Soit à la date anniversaire en cas d’absence de date dans le contrat. L’ augmentation maximale annuelle ne peut pas dépasser celle de l’indice de référence des loyers (IRL).
Cet indice, tenu par l’INSEE, est basé sur l’évolution des prix à la consommation hors tabac et hors loyers. Il est communiqué après chaque.
Paris, Lyon, Marseille et leurs agglomérations) de loyers de logements similaires situés dans le voisinage.
La loi, pour une révision de loyer, ne donne pas de délai. Le loyer est à payer à la date indiquée sur le bail. Il fixe les plafonds des augmentations annuelles des loyers que peuvent exiger les. Pour un bail renouvelé tous les six ans (avec une personne morale, par exemple) ou dans le cas d’une hausse supérieure à %, l’augmentation de loyer se répartira par sixièmes sur une période de six ans.
En revanche, l’augmentation se répartira par tiers sur une période de trois ans si le contrat est renouvelé pour trois ans ou en cas de hausse inférieure ou égale à %. La date limite à laquelle les propriétaires peuvent pratiquer cette hausse est inscrite dans le bail ou, si rien n’est mentionné, correspond à la date anniversaire de la signature du contrat. Les bailleurs doivent informer leur locataire par une lettre recommandée avec accusé de réception.
Si le propriétaire peut prouver que le montant du loyer est manifestement sous-évalué (en se basant sur le loyer de référence du voisinage), il pourra alors procéder à une augmentation du loyer lors du changement de locataire. Celle-ci ne devra pas dépasser la moitié de la différence entre le loyer actuel et le loyer de référence.
Par exemple, pour un loyer fixé à 5euros alors. Lors de la signature du bail, les deux parties s’accordent sur une possibilité d’ augmentation du loyer chaque année. Une date est alors fixée pour l’indexation du loyer.
Cette dernière se fait généralement à la date anniversaire de la signature du contrat. Si le bail contient une clause de révision. Chaque année, le loyer peut être révisé.
Depuis la loi Alur, tout propriétaire qui ne révise par le loyer annuellement ne pourra plus prétendre à un rattrapage en fin de bail ou à la relocation. En l’absence d’une clause de révision, le loyer restera le même pendant toute la durée du bail.
Le locataire a pour principale obligation de payer son loyer et ses charges. En cas d’augmentation de loyer, peut-il refuser ? Mais ceci n’est possible que si le bail comporte une “clause de révision“. Celle-ci s’applique soit à la date anniversaire du bail, soit à la date indiquée dans le contrat.
Au terme du bail commercial (ans en général), le locataire bénéficie d’un droit au renouvellement du bail. Ce seuil de 25% doit être dépassé à la date de la demande.
Mais, en fonction de la règle rappelée plus haut, la variation de loyer qui découle de cette révision ne peut conduire à des augmentations supérieures, pour une année, à 10% du loyer acquitté au cours de l’année précédente. Cependant, une fois par an à la date d’anniversaire du bail ou à une date spécifiée dans ce dernier, il peut procéder à une augmentation du loyer que l’on appelle révision.
Celle-ci est plafonnée en fonction de l’IRL, l’indice de référence des loyers, et varie chaque trimestre en fonction du niveau général des prix dans le pays. Bien sûr, le locataire pourrait demander d’étaler le paiement de cette hausse rétro-active sur plusieurs mois. Relocation et loi Alur.
Si vous procédez à une re-location en changeant de locataire, vous pouviez augmenter le loyer comme bon vous semble. Celui-ci prévoit la révision du loyer à la date anniversaire du contrat. Consultez notre article sur la loi ALUR pour connaitre les marges de manœuvre dont vous disposez.
Les loyers y sont encadrés. Le dispositif limite, pour une année, les possibilités d’ augmentation de loyer lors d’un changement de locataire, ou lors du renouvellement du bail.
Il devrait être suivi d’une loi pérennisant la réglementation. Ce contrat prévoit la révision du loyer à date.
Le bailleur ne peut plus rattraper l’augmentation des loyers non perçut depuis ans. Lorsque qu’un propriétaire ou son mandataire oubli d’indexer le loyer, il n’y a plus de recours possible.
Ce dispositif évite les mauvaises surprises au locataire qui peut se voir réclamer l’augmentation des dernières années de loyer en fin de bail. Ainsi, en cours de bail, le loyer peut être augmenté au 1er janvier de chaque année dans la limite : du loyer maximal prévu dans la convention, et de l’indice de référence des loyers (IRL).
Ne pas renouveler le bail.
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