jeudi 25 octobre 2018

Habiter dans son atelier

Habiter dans son atelier

Donc soumis à autorisation. Il ne peut y avoir de dépôt de dossier en mairie. Habiter, légalement, dans un bureau ou un entrepôt. Le confort est spartiate mais la surface. Auto entrepreneuse. Sandrine ans et son chat Framboise. Elle tient à vivre en ville et rêve d’avoir un bureau sympa, stimulant et qui « en jette.


Pour pouvoir habiter dans votre local commercial, il faut avant tout savoir ce que stipule votre bail commercial si vous êtes en location ou ce qui figure sur votre document notarié si vous êtes propriétaire. Peut-on habiter dans son entrepôt?


L’artiste leur a présenté dans le détail les objectifs de cet atelier dans le cadre de HABITER. Le protocole proposé par l. Oubliez les concepts déco qui seront périmés dans mois. L’architecture d’intérieur pertinente repose avant tout sur la maitrise de l’ESPACE et la connaissance de l’HUMAIN. La recherche Premiers logements, premiers chez-soi qu’Emile Hooge a porté, a donné lieu à un prolongement sous la forme d’un atelier prospectif.


Habitat-service, co-living, habitravail, habitat DIY. Les participants, tous professionnels de l’habitat, ont exploré avec enthousiasme toutes ces formes agiles, adaptables et pensées pour un monde mobile. Inscription obligatoire.


Venir avec son propre masque barrière et son gel hydroalcoolique. Si ce choix semble mettre de côté la définition de l’habiter issue des sciences de l’écologie qui s’intéresse explicitement à l’habitat des non-humains, il s’agit pour nous, y compris lorsque nous nous intéresserons aux non-humains, par exemple dans leurs relations avec les pratiques et les représentations humaines, d’orienter les réflexions de l’atelier vers la première définition de l’« habiter ». Le cloître St Louis, en Avignon, nous parle d’ «Histoires Humaines » avec une double exposition qui se tiendra jusqu’au avril.


Vous y découvrirez les œuvres du peintre, graveur Jean-Claude Gérodez ainsi que celles des élèves de son atelier « Paroles de Feuilles ». Cette exposition double donne à voir la complicité rigoureuse, humble, exigeante, fraternelle, qui unit l. Sabine Visintainer, dans son article « Se loger, habiter, s’intégrer », parle de la notion d’habitat comme désignant les rapports entre le logement – réalité physique délimitée dans l’espace – et son environnement, jusqu’à inclure l’ensemble des liens entre une communauté et son territoire. Dans les pays développés, la qualité de vie est meilleure (électricité, ramassage des ordures, eau potable…) dans les pays en développement, ces services restent insuffisants surtout dans les bidonvilles.


Voir projet sur la ville de demain. Toutes ces métropoles ont des défis. Agglomération : une ville et ses banlieues. Entre la roulotte et le mobile-home, la Tiny-House est une cabane en bois sur.


Habiter dans son atelier

En partant d’une recherche sur le mouvement, le rythme et la voix, l’atelier nous fait vivre des instants uniques où l’on découvre que l’on peut danser et chanter avec plaisir, en étant pleinement soi parmi les autres. Il y aura la présence de musiciens. Nous savons toutes et tous combien notre corps physique est précieux pour faire tout ce que nous avons à faire.


Mais combien d’entre nous oublions de l’ habiter, de l’écouter, de lui donner sa juste place dans l’énergie de vie que nous cherchons à développer. Ce parcours nous invite à redéfinir notre notion de l’espace, comme un environnement de vie hybride où les fonctions résidentielles et professionnelles se chevaucheraient. Atelier Je vis au centre-ville au cœur du commerce, des loisirs, des animations, de mes amis.


La notion d’ habiter proposée dans cet atelier est comprise dans le sens le plus large du terme : « faire avec l’espace », qui ne se limite pas à celui de « résider stablement », mais qui est aussi synonyme de fréquenter, d’être dans un lieu pour des raisons diverses et triviales : travailler, s’amuser, se réfugier, s’abriter, se réunir, se promener, parcourir, boire et. La notion d’habiter proposée dans cet atelier est comprise dans le sens le plus large du terme : « faire avec l’espace », qui ne se limite pas à celui de « résider stablement », mais qui est aussi synonyme de fréquenter, d’être dans un lieu pour des raisons diverses et triviales : travailler, s’amuser, se réfugier, s’abriter, se réunir, se promener, parcourir, boire et manger, etc.


Les communications et les workshops proposés au cours de l’atelier aborderont la. Au cours d’un atelier de jours, nous préfigurons un lieu de rencontre dans l’espace de l’entrée de l’ancienne usine Bata. Nous installons pour cela des tables hautes et basses, des assises, deux tables de ping pong et commençons la signalétique pour l’ atelier d’appropriation de la maison-type.


Les artistes retenus mèneront un atelier de création durant deux à trois semaines avec un groupe d’élèves ou une classe, dans le cadre pédagogique, en s’appuyant sur la thématique régionale définie par le réseau art’ur HABITER. Il s’agit d’amener des jeunes à s’engager et vivre ensemble un processus de création.


Lire l’habiter au prisme du mouvement paraît donc comme un questionnement moins paradoxal que logique : cela permet d’interroger ce que la mobilité comporte comme conséquences quant au rapport au monde et à l’espace, y compris dans les formes temporaires et éphémères. Comment les individus pratiquent-ils l’espace, travaillent-ils, sortent-ils, décorent-ils, jouent-ils, dans une situation de mouvement, par essence non-permanente ? Pour ceux dont le mouvement est empêché.

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